Sans mesures collectives urgentes, le monde sera confronté à un avenir défini par la rareté de l'eau et les défis climatiques.​​​​​​​ Dans les régions soumises au stress hydrique comme l'Inde, les difficultés d'accès à l'eau potable ne seront qu'exacerbées.

Les entreprises qui exercent leurs activités dans ces régions doivent soutenir les efforts visant à éviter la crise de l'eau imminente, déclare Christophe Beck, président et chef de la direction d'Ecolab.​​​​​​​

Lors de son récent voyage dans la région de l'IMOA, M. Beck a parlé avec ET Infra - le volet spécial de l'Economic Times of India consacré au secteur des infrastructures – de la crise de l'eau et de la manière dont les entreprises peuvent faire partie de la solution.

En tant que pays à croissance rapide dont les préoccupations relatives à l'accès à l'eau sont déjà à sa porte, l'Inde est un exemple frappant de la « macro-image » de nos défis en matière d'eau et de climat.

« D'ici 2030, nous aurons besoin de 56 % d'eau de plus que ce que la nature peut nous fournir », déclare M. Beck dans l'article. Il ajoute : « Quand on pense au nombre de personnes [qui n'ont pas] accès à l'eau potable, ce constat est vrai en Inde et ailleurs dans le monde. »

M. Beck poursuit en expliquant que les entreprises ont la capacité de renverser la situation – après tout, 150 entreprises peuvent avoir un impact sur un tiers de l'utilisation de l'eau dans le monde – et qu'il voit des industries à travers l'Inde reconnaître la gravité de la question. Les entreprises ne sont pas seulement motivées par un besoin existentiel, dit Beck, « elles veulent aussi faire ce qui est bon pour la communauté ».

Pour découvrir les points de vue d'Ecolab sur les problèmes mondiaux liés à l'eau, le rôle de l'industrie et la manière dont le nouveau centre mondial d'intelligence d'Ecolab à Pune, en Inde, permet aux clients d'Ecolab de prendre les mesures de gouvernance nécessaires, lisez les commentaires complets de M. Beck dans l'article d'ET Intra.