Lutter contre les pertes causées par les parasites des produits entreposés à l'aide de la numérisation
Lettre d'information The Pest Monitor
Selon le département de l’Agriculture des États-Unis, les pertes économiques dues aux parasites des produits entreposés dans le secteur alimentaire peuvent se chiffrer en millions de dollars pour chaque incident de contamination, de rappel de produit, de plainte ou litige de consommateur et de traitement antiparasitaire. Un des problèmes relevés par le département est que « les pratiques actuelles de détection des parasites communs des produits entreposés ne permettent souvent pas de découvrir la présence d'une infestation à un stade précoce ». Bien que cette déclaration ait été publiée en 2015, la présence continue de parasites des produits entreposés tout au long de la chaîne d'approvisionnement alimentaire témoigne de la nécessité pour le secteur alimentaire de continuer à faire évoluer ses pratiques de détection et d'élimination.
L'absence de technologie capable de détecter et d'éliminer correctement ces parasites et d'autres nuisibles est également mise en évidence par les seuils d'intervention de la FDA en matière de défauts alimentaires, qui représentent les « niveaux maximaux de défauts naturels ou inévitables dans les aliments destinés à la consommation humaine qui ne présentent aucun danger pour la santé », notamment la présence de fragments d'insectes ou de saletés. La FDA a fixé les seuils d'intervention en partant du principe que ces derniers ne présentent aucun danger inhérent pour la santé, « parce qu'il n'est pas économiquement possible de cultiver, de récolter ou de traiter des produits bruts totalement exempts de défauts non dangereux, survenant naturellement et inévitables ».
Cependant, même en fixant ces niveaux, le département déclare que, « au fur et à mesure que la technologie s'améliore, la FDA peut revoir et modifier les seuils d'intervention en matière de défauts alimentaires sur cette liste ». Les seuils d'intervention actuels sont statiques depuis des années, mais l'évolution continue des technologies et l'accent mis par le département sur la nouvelle ère technologique pourraient potentiellement réduire ces niveaux.
Alors, comment les principales installations alimentaires restent-elles en tête du jeu? Plusieurs grandes usines de production d'aliments et de boissons appliquent un contrôle de la qualité en temps réel pour garantir la salubrité des aliments et la qualité des produits. Lorsque les moniteurs de contrôle de la qualité détectent un problème de parasites dans un lot de produits particulier, le responsable du contrôle de la qualité fait usage du système de traçabilité basé sur les données pour mener rapidement une analyse des causes profondes.
Dans l'un de ces cas, la technologie a permis au responsable du contrôle de la qualité d'établir un lien entre les problèmes de qualité des produits finis et les tendances lourdes en ce qui concerne le nombre de parasites des produits entreposés sur un quai de déchargement donné à des dates précises. À partir de ce constat, l'installation a été en mesure d'évaluer les problèmes structurels ou sanitaires au niveau du quai de déchargement et des matières premières arrivant par ce quai à ces dates, en vue de déterminer la source du problème d'insectes, de remédier rapidement au problème du produit et au problème de parasites sous-jacent, et de produire une documentation complète pour se conformer aux exigences d'audit de la FDA dans le cadre de son approche pour une « nouvelle ère de la salubrité alimentaire plus intelligente ».
L'absence de technologie capable de détecter et d'éliminer correctement ces parasites et d'autres nuisibles est également mise en évidence par les seuils d'intervention de la FDA en matière de défauts alimentaires, qui représentent les « niveaux maximaux de défauts naturels ou inévitables dans les aliments destinés à la consommation humaine qui ne présentent aucun danger pour la santé », notamment la présence de fragments d'insectes ou de saletés. La FDA a fixé les seuils d'intervention en partant du principe que ces derniers ne présentent aucun danger inhérent pour la santé, « parce qu'il n'est pas économiquement possible de cultiver, de récolter ou de traiter des produits bruts totalement exempts de défauts non dangereux, survenant naturellement et inévitables ».
Cependant, même en fixant ces niveaux, le département déclare que, « au fur et à mesure que la technologie s'améliore, la FDA peut revoir et modifier les seuils d'intervention en matière de défauts alimentaires sur cette liste ». Les seuils d'intervention actuels sont statiques depuis des années, mais l'évolution continue des technologies et l'accent mis par le département sur la nouvelle ère technologique pourraient potentiellement réduire ces niveaux.
Alors, comment les principales installations alimentaires restent-elles en tête du jeu? Plusieurs grandes usines de production d'aliments et de boissons appliquent un contrôle de la qualité en temps réel pour garantir la salubrité des aliments et la qualité des produits. Lorsque les moniteurs de contrôle de la qualité détectent un problème de parasites dans un lot de produits particulier, le responsable du contrôle de la qualité fait usage du système de traçabilité basé sur les données pour mener rapidement une analyse des causes profondes.
Dans l'un de ces cas, la technologie a permis au responsable du contrôle de la qualité d'établir un lien entre les problèmes de qualité des produits finis et les tendances lourdes en ce qui concerne le nombre de parasites des produits entreposés sur un quai de déchargement donné à des dates précises. À partir de ce constat, l'installation a été en mesure d'évaluer les problèmes structurels ou sanitaires au niveau du quai de déchargement et des matières premières arrivant par ce quai à ces dates, en vue de déterminer la source du problème d'insectes, de remédier rapidement au problème du produit et au problème de parasites sous-jacent, et de produire une documentation complète pour se conformer aux exigences d'audit de la FDA dans le cadre de son approche pour une « nouvelle ère de la salubrité alimentaire plus intelligente ».